"Homme libre, toujours tu chériras la mer." Les Fleurs du mal, Charles

OLIVIER DE KERSAUSON Homme libre .. (toujours tu chériras la mer

Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme. Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur. Se distrait quelquefois de sa propre rumeur.

"Homme libre, toujours tu chériras la mer !". Baudelaire. Tableau sur

Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur

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Homme libre, toujours tu chériras la mer! La mer est ton miroir; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur

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Homme libre, toujours tu chériras la mer La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton cœur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur

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Dans ce poème il compare la mer et l'homme, à la fois semblables et ennemis. Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme. Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et.

Charles BAUDELAIRE a dit Homme libre, toujours tu chériras la mer

L'Homme et la mer (Man and the Sea) by Charles Baudelaire Charles Baudelaire's L'Homme et la mer Homme libre, toujours tu chériras la mer! La mer est ton miroir; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.

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''L'homme et la mer'' poème de Charles BAUDELAIRE dans ''Les fleurs du mal'' (1857) Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ;

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Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur

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Homme libre, toujours tu chériras la mer ; La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer.

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Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur

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XIVL'HOMME ET LA MER. Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme. Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton cœur. Se distrait quelquefois de sa propre rumeur.

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Homme libre, toujours tu chériras la mer ! La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme. Dans le déroulement infini de sa lame, Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais à plonger au sein de ton image ; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton cœur. Se distrait quelquefois de sa propre rumeur.

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Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Lecture du poème. L'Homme et la Mer est un poème Charles Baudelaire contenu dans la section Spleen et idéal de son recueil Les Fleurs du mal Il est composé de quatre quatrains avec des rimes embrassées. Sur les autres projets Wikimedia : L'Homme et la Mer, Postéritémodifier | modifier le code

"Homme libre, toujours tu chériras la mer." Les Fleurs du mal, Charles

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